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Gerardmer 2008


Cyril

Messages recommandés

Si on loupe Cloverfield le mercredi soir, est-ce qu'on sur de ne faire sauter un film intéressant pour la deuxième projo... c'est aussi ca qu'il faut voir!

 

Nan nan, si on regarde tout les films à l'espace lac (comme chaque année) on est certain de ne rien louper !

Par contre cette année ça veut dire passer tout le samedi soir à voir des films si on veut voir le franco, l'incinérateur de cadavre, evil alien ...

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Tout à fait.

Si ça ne vous ennuie pas, je pense qu'on va rester sur un rendez vous à 16h30, histoire de voir les deux films de la soirée.

Donc ceux qui sont intéréssés par cet horaire, merci de me le faire savoir ici ou par mp.

 

Je vois bien l'intérêt du rendez-vous plus tôt, mais dans mon cas, par exemple, pas moyen d'être là avant 17:30 (et encore, si çà roule bien). L'an dernier, déjà, on attendait encore du monde après l'heure dite. Donc, du coup, on verra bien s'il y a assez de "retardataires" pour faire affaire.

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La séance de Cloverfield de 20h00 c'est sur invitation, vous ne rentrerez pas avec vos pass.

ça veut dire qu'on peut se mettre Cloverfield au cul?

 

Nan nan, comme chaque année David, le film d'ouverture est diffusées le même soir à 22h et comme chaque année c'est a cette séance que l'on va.

 

De toutes façons hein... Moi je serais vous je zapperai le film et j'irai en boite.

 

wééééé !

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Ben dis donc, c'est calme quand les bronzes font du ski hein...

Z'ont pas de connection internet la-bas ? Pas la possibilite de nous faire un chti report rapido en direct de la neige ?

 

 

Raaah mais les pauvres... Ils doivent être en train de vomir à cause de Cloverfield...

Eh oh, on avait dit pas de spoiler, sinon twar ta gueule !!!

 

J-13

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De loin l'une des meilleures éditions du festival !

Une excellente ambiance, des retrouvailles qui font zizir, une programmation relativement éclectique, peu de déchets à l'arrivée. Bon par contre, si on veut picoler à Gerardmer, vaut mieux commencer la soirée très tôt... passé 1h du mat difficile de carburer au long island.

2008, un très bon cru...

 

STUCK : Une pure bombe ! Un retour en force de première catégorie. Stuart Gordon rules! XXX

 

EPITAPH : J'ai oublié mon Lexomyl. De l'imagerie sans vie assortie d'une interprétation balai dans le cul. 0

 

TEETH : Bizarrement les lourdeurs ne sont pas là ou on les attends. Trip un peu vain, sujet trash traité sur un mode délicat. Intéressant mais pas totalement convaincant. X

 

LE ROI DE LA MONTAGNE : Un survival humain, qui démarre mollement pour s'imposer aux coups. Pas mal du tout. XX

 

JOSHUA : n'a rien à foutre dans un festival de film fantastique mais c'est un bon film... sur les dégats de la société de l'enfant roi... quand celui est un pervers ordinaire... ironie mordante, pas de débordements, un traitement qui privilégie la crédibilité psychologique. XX

 

THE BROKEN : Très beau traitement froid, mais sujet trop léger, aurait mérité d'être un peu plus travaillé sur le papier. Pas mal de longueurs. En l'état, ca passe tout juste. X

 

REC : Balaguero confirme qu'il sait se renouveller de film en film, toujours en tirant partie au meilleur de peurs primaires. Son film est terrifiant !! Dommage que la fin soit un peu ratée... mais elle ne remets pas en cause la globale réussite de cette co-réalisation à la peur hystérique. XX

 

CLOVERFIELD : Mamamia !!! XXX

 

SHROOMS : La purge du festival. Nullissime. 00

 

ALL THE BOYS LOVE MANDY LANE : Agréable slasher avec sa touche d'originalité aux parfums d'Amérique surannée, de sensualité vénéneuse comme on les aime. Pas assez sadique, mais avec sa propre touche. XX

 

APARECIDOS : Mise en route laborieuse qu'il faut pouvoir dépasser, pour un film finalement plus ambitieux que prévu. S'avère prenant et finalement touchant dans son message à la fois noir, fort et touchant. Pas mal du tout. XX

 

L'ORPHELINAT : Un trip naphta, encore un... tout est fait pour qu'on s'extasie devant la beauté de la chose dans un esprit vente internationale, avec ce qu'il faut de références qui va avec. Le problème c'est que l'épouvante se conjugue bien mal à un final paradoxalement aussi noir que traité au sirop. Trop sucré, manque d'eau. X

 

ROGUE : Excellent divertissement qui donne ce qu'on lui demande : de la tension, un crocodile énorme, et des touristes cons. XX

 

DIARY OF THE DEAD : Romero a découvert internet il y a deux jours... le résultat, un propos alarmiste pas franchement neuf. On hésite entre le discours d'arrière garde vieux con, et le côté finalement très Bret Easton Ellis de cette vision d'une nouvelle société de la communication. Le mal n'est pas un, mais dans la masse unie par cette machine diabolique. Satan a trouvé son instrument ultime. Prenant, pour ce qui est de la forme -sans surprise- c'est quand même une vraie croute. Cela reste du pur Romero, et rien que pour ca : XX

 

FRONTIERES : Estelle Lefébure meets Howard Vernon chez les Bidochon. Ca se veut généreux (et ca l'est), c'est surtout passablement idiot et totalement inutile. 00

 

MOTHER OF TEARS : Je soupire dans l'enfer de l'âge. Et j'appelle ma mère. 00

 

Les temps forts annexes :

 

-Wonderscope se lançant dans un comparatif Sheitan / Frontières avec l'équipe de ce dernier.

 

-Ca gang bang au grand hotel !

 

-Les trois abrutis Cyril / Le Zob et moi-même écrasés au premier rang par Cloverfield.

 

-Marilou Berry mangeant des frites.

 

-La pause clope sur la devanture du San Remo (sans arme et dangereux), désormais point de ralliement des pestiférés, le tout dans un froid pétrifiant avec la chanteuse Dani. On arrêterait pour moins.

 

-Norman nous racontant sa vie sexuelle.

 

-Bézu à fond dans les hauts parleurs de la ville dès le premier soir.

 

-L'impression d'être dans un mouroir pendant "Mother of Tears" coincé entre un Romain Le Vern fiévreux et Jess Franco dans son fauteuil roulant. Et moi même ne me sentant pas très bien.

 

-La découverte d'une incroyable vérité : Harry Potter est sur ce forum !!

 

-bailando au paradiso.

 

-Si c'est une fille, Howard Vernon l'appellera Lili !

 

Merci à tous, je vous t'aime à la Patrick Fiori, à l'année prochaine!

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Premier Gerardmer pour moi, et un franchement bon sejour et festival qui conclua mes vacances de la plus belle maniere. Sympa de rencontrer enfin certains individus qui m'avait echappe jusqu'a present (c'est ca aussi l'effet Web 2.0 ?). Mon bapteme au Grizzly et rencontre directe avec l'hospitalite Geromoise. Le DJ local crache du "A la queue-leu-leu" et autres franchouilleries dans des speakers savamment dispose a chaque coin de rue. Le chapiteau Francaise de jeu, et les commercants locaux a l'attitude amusante car particuliere on dira. La bonne ambiance quoi. Le festival est plutot bien organise, on n'a jamais ete recalle a aucune seance, les films commencent a l'heure et sont au format dans lequel ils ont ete annonce. Seul le projectionniste semble avoir un coup dans le nez quelques soirs, se disant que si c'est flou, personne ne remarquera. Un jury prestigieux dont le centre d'attention et d'attraction fut pour beaucoup la parfaite et qualifiable de Hottie #1 Kristanna Loken. Le bon Gordon, l'envieux Deodato, le lucide Franco, la star Marshall, et le tres rigolo Shimizu, ils sont bien la, mais mes regards se portent a chaque seance de la competition sur le Jury Jeune rempli de cuties a couper le souffle, quand Catherine Jacob ne leur vole pas la vedette.

 

Niveau films, meme si de l'avis des participants reguliers la programmation etait de bon niveau cette annee, j'ai quant a moi ete plus mitige. Pas de chef d'oeuvre ou de grosses attentes recompensees, juste quelques bonnes surprises au milieu de pas mal de deception. Mais ca fait tellement plaisir de voir ca en festival, avec en majorite un bon public, que je suis tres heureux au final de m'etre detruit le coccis au bout de 4 jours.

 

EPITAPH et THE BROKEN : Parfois beaux mais d'une chiantise absolue quand meme. Les deux films ont le desavantage d'etre surtout assez pretientieux. Peut-etre pas a la bonne place a Gerardmer on va dire.

 

DIARY OF THE DEAD : Fun et pas con, et une tres large coudee au dessus de REC et, dans une moindre mesure, CLOVERFIELD.

 

EL REY DE LA MONTANA : Loin, meme tres loin d'HANNAH MONTANA. Dommage.

 

JOSHUA : Pour le coup une excellente surprise, et meme je dirai un film assez remarquable pour un premier long de fiction. Sur, le film a fait office de vrai outsider a Gerardmer, mais sa programmation osee aura ete aussi surprenante que rafraichissante.

 

[REC] : Pour sur, un film qui va faire son effet cette annee (et le remake US arrive a l'automne prochain ). Mais j'ai trouve la structure du film assez vaine. Quant a la derniere partie, pfffiou

 

ROGUE : Ben voila, j'ai vu mon bon film de croco. Plutot beau et tres tres bien monte (je ne parle pas de Michael Vartan, mais bien du film). En plus le film installe une athmosphere sans faire chier a coup d'histoires autour des personnages dont on se contre-fout de toute maniere, il faut etre realiste.

 

TEETH : J'aurai aime que le film n'oublie pas en route la contestation sociale qu'il mettait en oeuvre en filigrane (discours tabou sur la sexualite et les blocages, maladresses et violence qui en resultent) car en l'etat le film laisse plus l'impression d'etre une blague de bites potache au final tres peu surprenante.

 

EL ORFANATO : Loin d'etre revolutionnaire ou aussi effrayant qu'on nous l'avait vendu, mais l'histoire est racontee dans une tradition classique pure et efficace, dans la mouvance d'un "Los Otros" ou "El espinazo del diablo". Mais ca fait un Grand Prix un peu papi.

 

ALL THE BOYS LOVE MANDY LANE : Le film a reussi a me mettre vraiment mal a l'aise, comme si Eli Roth avait pris les commandes d'un "Bring It On" apres un desistement de Sofia Coppola.

 

APARECIDOS : Peut-etre le meilleur de la cuvee espagnole celui-la, avec son sous-texte politique intriguant qui ne neglige pas son public venu pour voir du fantastique.

 

SHROOMS : Je crois etre le seul a ne pas avoir hai le film.

 

FRONTIERE(S) : Du fun en barre. Ma meilleure experience cine depuis longtemps. A voir a la nuit excentrique dans quelques annees. "Elle s'appelera Lili !"

 

STEEL TRAP : Un slasher allemand cheap qui vaut pourtant mieux que n'importe quel Saw. Approved!

 

sans oublier un FEAR X, un mysterieux polar avec un John Turturro toujours aussi impeccable, EVIL ALIENS qui deboite - quelle peche !, LA RESIDENCIA que je n'ai pas pu apprecier a sa juste valeur pour cause de fatigue.

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La meilleure édition de Gérardmer depuis que je m'y rends... Peut-être même depuis ses origines: exit les people éphémères issus de la télé-réalité et bonjour les monstres sacrés du genre. Gordon et sa bouille de nounours débonnaires au regard malin, Deodato faussement décontracté mais attachant, Franco propulsé sur roulette ne se fait pas quitter d'une semelle par Lina Romay qui - pour une fois - porte la fourure au lieu de la dévoiler, Neil Marshall aime visiblement la bière, Jake West aussi - ainsi que les produits tupéfiants-, Juraj Herz effacé, Kristinna Locken rayonnante au milieu de pas mal de papys....

 

Et côté ciné:

 

STUCK: une pure bombe, un thriller sombre et rentre dedans, du cinéma glacial et diablement bien maitrisé par un Gordon au sommet de son art. Photo glacial, montage au rasoir, musique efficace, interprétation au petits oignons, humour douteux, de la violence et un peu de sexe: c'est du caviar sur celluloïde.

 

EPITAPH: variation sur le thème de la serpière flottante, le film démarre de manière inattendue et parvient à surprendre en allant là où on ne l'attend pas. Problème: à force de ne pas vouloir faire un film d'écolières en jupette et de prétendre à une démarche intellectualo-auteurichiante, on en vient à s'emmerder au point de regretter ces mêmes écolières. Misère.

 

THE BROKEN : Etonnante relecture de L'INVASION DES PROFANATEURS à l'esthétisme précieux et à la mise en scène un rien prétentieuse. Un peu longuet et répétitif, le film peine à capter l'attention du spectateur sur sa durée.

 

DIARY OF THE DEAD : en soi, c'est pas mal du tout, mais mon compatriote Guillaume Tell m'a ouvert les yeux: le film a clairement le cul entre deux chaises, hésitant entre la satire au premier degré et le film un peu plus léger. Le plus gros problème est que Romero a la sale habitude de prendre la main du spectateur pour bien souligner le sens de l'action et des images. Il est bien loin le temps où George Andrew laissait son public se délecter d'images suffisamment fortes pour parler d'elles-mêmes.

 

[REC]: Le but du film est de faire bondire le spectateur de son siège. Et y a pas à dire, ça fonctionne plutôt bien (et avec volume à 120 décibels, impossible de résister). Pour le reste, il s'agit d'une expérience plutôt plaisante jusqu'au moment où on se met à faire attention aux incohérences et aux trous scénaristiques.

 

CLOVERFIELD: une expérience inédite, immersion totale au coeur d'un film qui fera date dans l'histoire, une vraie montagne russe cinématographique.

 

LE ROI DE LA MONTAGNE : Survival efficace et surprenant dont certains éléments qui ont énervés la majorité d'entre nous m'ont parru au contraire être au bénéfice du film. Mise en scène efficace, jolie photographie, très bonne bande sonore, les amateurs du genre apprécieront, les autres beaucoup moins.

 

JOSHUA : celui-là semble s'être égaré. Sa présence au sein de la sélection géromoise est pour le moins surprenante, mais le film n'en est pas moins réussi. Il s'avère même carrément tordu et décalé malgré sa forme d'une sobriété exemplaire.

 

ROGUE : le film de sac à main boufeur d'homme vient de trouver son nouveau maître-étalon. Film très premier degré, mise en scène sobre et efficace, photo somptueuse, interprétation sans faille, le scénar est simple et sans fioriture; quant au final, il offre quelque chose de totalement inédit dans ce sous-genre qu'est le film de croco psychopathe.

 

TEETH : on s'attendait à un film foireux, on se retrouve face à une série B fort attachante. Comme le dit MovieRev, il est dommage que le film laisse de côté le portrait un rien potache de la communauté évangeliste qu'on aime ridiculiser mais quelque part il aurait été facile de les déglinguer à coups de boulets rouges. Au final, c'est fun, divertissant et même très drôle. Ca fait penser à un Troma avec beaucoup de retenue tout de même (on pense très fort à CLASS OF NUK'EM HIGH)

 

EL ORFANATO : esthétiquement remarquable, fort émouvant, mais très convenu, L'ORPHELINAT c'est du fantastique familiale de première classe, avec tout ce que cela implique de concession, y compris le final triste mais pas tant que ça dont on se serait bien passer.

 

ALL THE BOYS LOVE MANDY LANE : Ca commence remarquablement bien: dès la scène d'ouverture, on sait qu'on assiste à un slasher au ton très personnel. C'est réalisé avec classe, le ton est passablement méchant et là on s'installe au fond du siège avec le sentiment que les prochaines 80 minutes vont être délectables. Seulement voila, le film emprunte un rythme de croisière qui s'avère bien monotonne et on finit par s'y ennuyer. Mauvais point donc, d'autant plus que le twist final ne surprendra pas grand monde. Reste une belle mise en scène, une chouette BO, une volonté de se distinguer du SCREAM-like (pari amplement réussit) et de belles gonzesses qui sont en plus de cela extrêmement cochonnes.

 

APARECIDOS : si la finalité du film est tout à fait louable, si le message est relativement fort, je suis passé complètement à côté de la métaphore, la faute à une mise en scène roublarde, à un script à la mords-moi-le-noeud et à une ésthétique moche. Ca m'a rappelé KM 31 et ça m'a presque tout autant irrité. Dommage.

 

SHROOMS : film nul dans lequel se perdent quelques rares éléments attachants - la vache qui parle, les bouseux blagueurs, les dialogues d'ados crétins et de jolies gonzesses. Mais c'est franchement mauvais de chez mauvais.

 

FRONTIERE(S) : c'est très con mais ça défoule, les dialogues sont pathétiques (il est possible d'être vulgaire sans être stupide), les acteurs sont presque tous mauvais mais c'est tellement brutal que ça en devient jubilatoire. Le Bihan est excellent (m'enfin là je pense que je suis un des seuls à le penser). Le projectionniste sans doute bourré au Gewürtzt nous a fait bénéficier d'une projo floutée du plus mauvais effet. Picotements occulaires garantis.

 

BLACK WATER: un autre film de croco anthropophage australien, le concept est très simple - encore plus que ROGUE avec lequel il entretient bien des points communs - et les apparitions du croco sont d'une redoutable efficacité mais elles sont malheureusement trop rares, du coup, sur 90 minutes, ça devient un peu ennuyeux. Ca reste quand même nettement supérieur au film d'attaque animal de base.

 

FEAR X: thriller fascinant qui fait inévitablement penser à LOST HIGHWAY. C'est très beau, contemplatif, hypnotisant et très intelligent. Turturro est excellent.

 

LA RESIDENCE: Magnifique copie, belles couleurs, scope somptueux: il n'existe pas de meilleure condition pour découvrir pour la première fois cette perle noire gothique aux décors magnifiques et au casting féminin à se damner! Quant à l'histoire, elle est certes un peu classique, mais elle est aussi cruelle, noire et il s'en dégage un véritable parfum de perversité.

 

L'ANGE EXTERMINATEUR: ou l'adaptation de l'adage sartrien "l'Enfer c'est les autres" par Buñuel. Poème surréaliste maîtrisé d'une main de maître par un des plus virulents critique de la bourgeoisie auto-suffisante. La copie était correcte, une vraie bénédiction de pouvoir profiter de pareilles projections.

 

L'INCINERATEUR DE CADAVRES: étonnante et fascinante parabole au ton très pince-sans-rire de la montée du nazisme au début des années 30, le film fut projeté dans le cadre d'une nuit "maîtres du genre" (avec FEAR X - ? comprenne qui pourra-), inutile de préciser que la projection de cette pelloches passablement abîmée dérouta les mecs venus avec l'espoir de se farcir des montagnes de bidoche recouvertes de sexe graveleux. Excellent film néanmoins.

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