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meltingman

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À propos de meltingman

  • Date de naissance 28/04/1967

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    casser des noisettes avec mes fesses
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    de merde
  • LOCATION
    20 minutes dans le futur

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Paul Verhoeven

Paul Verhoeven (5/6)

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Réputation sur la communauté

  1. Limite du bout des doigts. Ces messieurs ont des nuques fragiles. L'eunuque est toujours fragile
  2. Punition ultime que ce "truc". Non seulement c'est d'un moche à toute épreuve, proche du beurk dégueulasse, mais c'est d'une bêtise crasse, même pas drôle. Donc Sami est en phase terminale de son cancer du poumon. Ok. Il a une fille muette. Ok. La scierie (Florent-Emilio n'a même pas osé jeter un regard sur le scenar, grand bien lui fasse) est sur le point de fermer. Ok. Tous ses employés sont sinistres mais il les aime bien et ils veut les protéger. Ok. Manque juste un chien maladif et une mère amputées des jambes qui crache des glaires pour parfaire le tout. Après 45 minutes de vide existentiel, et de considérations superflues, et en espérant qu'au moins la photo un jour soit belle mais non... On entre dans le mordant de la histoire. Sami, il veut que sa fille vive son rêve de devenir une superstar de la gribouille et donc il veut vendre la scierie puisque de toutes façons il va crever, mais quand le petit délinquant qu'il a porté à bout de bras lui ramène une voiture bourrée de coke, Sami se dit qu'il ne devrait surtout pas appeler les flics mais faire sa propre justice quitte à y laisser sa peau et celle de sa pioupiounette. Tellement logique ! Sami il a un fusil a deux coups qui peut tirer des millions de cartouches sans frémir. Sami finit par faire venir à la scierie le grand méchant au regard torve (putain mais c'est pas possible de non-jouer aussi mal), qui tue des gars taillés comme des golgoths en leur tournant la tête (idée la plus conne de la terre, tu fais ça avec un bébé ou un chat, va faire ça avec un mec gaulé comme Mike Tyson... Non mais sérieusement) et sa bande surarmée. Sami les nique un à un avec son fusil a deux coups et tellement d'ingéniosité que Wile E. Coyote peut dormir tranquille. Sami il échappe a tout, au feu, aux tirs de kalash, il se pète la main et le genou mais dans la scène suivant il galope. Sacré Sami. Quand Sami veut s'enfuir, il s'engouffre dans une voiture et part en marche arrière pour mieux s'encastrer dans des rondins de bois. Pendant ce temps, le neuneu à la coke fait fuir la muette sus-mentionnée. Mince... Un des gars du grand méchant les suit. Vite ! Courons vers une clairière ! C'est tellement mieux. Avant on a quand même appelé les gendarmes... Au cas ou. Sami il se prend une bonne patate dans le bide, il est a terre, agonisant. Le gros méchant le regarde et rote. Je crois. Entre temps la fifille a couru, couru, couru, des kilomètres et s'est réfugiée dans une maison au village chez un gars sympa qui lui propose une bonne verveine. Mais blam ! Avant même d'avoir mis le sucre dans la tasse le gars s’effondre parce que Big Bad Actor est déjà là et qu'il sait dans quelle maison tirer. S'en suit une course poursuite entre escargots, des paresseux qui courent dans une maison, une sortie de cette même maison (au ralenti s'il vous plait) du grand méchant avec sa carabine sur une musique totalement pompée sur Terminator, et un retournement de situation final totalement imprévisible, lorsqu'au moment ou la fille va se faire retourner la tête, Sami revient en double-salto arrière et nique sa mère au méchant bâtard. Quant aux gendarmes, ils arrivent... en survolant la zone hélico. Super pratique ! J'en ai vu des merdes dans ma vie. J'en ai adorées beaucoup mais là... Dire que j'ai commencé mon abonnement gratuit de un mois sur Netflix avec ça. C'est le premier film de Leclercq que je vois, limite maintenant ça me donne envie d'aller chez Lidl.
  3. C'était aussi arrivée à une projo organisée par Mad Movies de Reanimator 2 sur les champs (Je me souviens plus si la vitre avait cédé mais c'était l'émeute) Il faut donc éviter les projos de films en ator 2.
  4. meltingman

    Nintendo Switch

    Le Yoshi déchire !! Pour ceux qui ont un compte amazon prime et qui ont pas encore payé pour le switch online... "Bonne nouvelle, les titulaires d'un compte Amazon Prime ou Twitch Prime peuvent dorénavant bénéficier du Nintendo Switch Online gratuitement. Le fonctionnement de cette opération est on ne peut plus simple : il suffit de visiter cette page Internet pour lier son compte Switch Online à son compte Prime, ce qui déclenche d'emblée trois mois d'accès gratuits au service. À l'issue de cette période, il suffira de réaliser la même opération pour bénéficier de neuf mois gratuits supplémentaires. Si Amazon et Nintendo ne débloquent pas d'emblée une période de gratuité de douze mois, c'est bien évidemment pour encourager les joueurs à conserver leur compte Prime dans la durée. Dommage, les personnes déjà abonnées au service ne peuvent bénéficier par ce biais d'une extension de leur période d'abonnement."
  5. Puisque 2018 heureusement meurt dans des souffrances atroces, je me dis que jé kifé tro se son toutan meu 10trayan pendant toute cette année de merde. Residente, ex Calle 13, que je met dans mon top 200 des sons de 2018, en première place. Une oreille et un œil sur son premier album. Q4KqFlK_F2w 0LvolzpC2I4 5xGqUompVVQ Des trucs hors album vFAOKWaEctg ksSyVz1tI3Y Todo el mundo con el paso del robot ! Cp6S830mHsI Un bon buzz et 13 minutes de coussin moelleux UjqXKgk5b18
  6. Ecrit par Don Mancini la même année que celui de Jeu d'enfant.
  7. meltingman

    Les films de canicule

    Le mou du gland, Equateur de Gainsbourg.
  8. AAAAAAAAAAAaaaaaaaaahhhhhh.... NVjSycDJatc OxhuQWKwbqY kmp5KgbyQu0
  9. Pareil que Stéphane. Et comme je suis plus vieux...
  10. Cloverfield c'est quoi ? Tout le monde me parle de ça, c'est flippant de ne pas connaitre. Je rejoins l'avis de de Zoidberg le panda mais aussi celui de Wceline. C'est a mi-tier-chemin. Clairement JJA vient de commettre son premier "gros" faux pas en terme de production. 40 millions de $ pour un truc qui ressemble à un film Asylum, avec le fun en moins. Je passe sur le cast de gueules d'éponges débitant des dialogues ineptes, une "héroine" qui ne fait ni ne dit rien pendant 40 minutes a part rouler ses yeux mais qui est supposé être une scientifique tip-top alors que vendeuse de churros sur une plage lui irait vachement mieux, le ethno-washing du film, la volonté de vendre le bousin en Chine (tout le cast parle et comprend le chinois, mais la chinoise ne parle rien d'autre que chinois, sacré JJ). Bref c'est abominablement laid, con, pustulant (un truc qui produit des pustules dans vos yeux, c'est pustulant non ? ). Je vais aussi passer sur la réalisation pour ne pas dire des choses horribles. Le scenar est grillé en trois secondes, on dirait la V2 d'un film de Robert Parrish, la classe en moins. Une perte de temps cataclysmique. Par contre, effectivement ça ajoute à l'histoire de Clovey. Mais aussi par contre, si ça ajoute beaucoup, ça oblitére complètement la "mythologie" (justement) de ce qu'était Cloverfield. Alors oui on a du Slusho dans le film, oui on a mais... et la Tagruato ? Et le seabed's nectar ? Et la chute d'un truc vu dans la video de Coney Island qui ne peut clairement pas être dans la mème lignée temporelle (oui ça existe en français, et c'est plus joli que timeline) et... euh le reste. JJ part dans son trip habituel, et franchement gonflant maintenant, de multi-univers qui expliquent tout, comme dans Lost, dans Fringe, dans Emmanuel Macron, mais en oubliant que nous n'avons pas oublié. Tout le monde n'est pas un poisson rouge réseausocialiisé. Du coup oui ça ouvre des idées intéressantes (le discours du prédicateur-scientifico pas très crédible dans la télé), le choc des différentes lignées temporelles, qu'elles soient dans le futur ou le passé; ça raccorde pas mal avec le 1 et "10 Cloverfield Lane" que j'adore . Mais... On s'en bat les glaouis !!!!! On veut des monstres putain ! On veut des trucs qui démontent des immeubles en leur vomissant dessus, on veut des parasites qui font exploser le bide des gens sans aucune raisons, on veut du fun ! Et plus les "fausses" séquelles avancent, plus on nous enfume avec des ficelles marketing aussi finaudes que les nationalistes corses Bon on attend donc le 4, le "Overlord" (avé lé nadzi), on va voir mais... Vous pas perdre de temps, il y a trois scènes marrantes a voir dans cette bousace, en zappant vite fait : La scène de l’hôpital, la scène de la main qui écrit et qui n'ose mème pas faire un doigt d'honneur et les 3 secondes embarrassantes de mocheté du final.
  11. meltingman

    Nintendo Switch

    Donut vient de te demander en ami
  12. Mais qu'est ce qui lui est arrivé ? Trop de cornettos ?
  13. Je suis bouche bée, incrédule, désemparé, liquéfié, ça en fait beaucoup mais c'est vraiment l'état dans lequel ces 4 premiers épisodes m'ont mis. Jeremie vient de synthétiser tout le bien de ce retour à Twin Peaks qui n'en est pas un puisque ça se passe partout, surtout ailleurs qu'à Twin Peaks. En tous les cas on est dans le retour d'un Lynch de 71 ans en pleine forme, sans frime. Je vais rajouter à ce qu'à dit Jeremie un complément d’enquête. Pour poser les bases, au moins c’est fait.... Mes films préférés de Lynch sont Eraserhead, Elephant Man, Fire Walk With Me et Inland Empire (qui aurait pu durer 365 jours sans que je déscotche mon nez de mes sandwiches au pastrami, cornichons et mayo), et puis Blue Velvet mais dans une autre catégorie en fait. Donc globalement des films sur lesquels la forme prend le pas sur le fond (oui oui même Elephant Man), comme toujours chez tonton David. Parce que le pépère n’est pas un cinéaste stricto sensu, c’est un titilleur de sens, un gars qui prend du plaisir à faire peur quand on devrait rire et à faire hurler de rire quand on devrait se terrer, tétanisé dans un coin, à faire de la texture, un palpeur. Un plasticien tactile forcement c’est acquit, mais aussi un « musicien » une oreille très très interne affutée, en tous cas quelqu’un qui a un sens profond de ce que le rythme et les fréquences, sans en avoir l’air, peuvent dérouter, hypnotiser, rassurer ou effrayer de façon beaucoup plus concrète que la vision, vachement limitée. Honnêtement je flippe plus dans le noir à écouter des infrabasses qu’à regarder Get Out ou Don’t Breathe sous champis. Son trip pseudo mystique sur la méditation transcendantale est logique, le sens n’est rien, n’a absolument aucun intérêt, en tous cas le sens « direct », ce qui compte c’est le comment tu prends ça dans ta face, comment ton cervelet s’en tire. J’ai eu une grosse discussion avec lui fut un temps et je le faisais mourir de rire en lui parlant des sens cachés d’Eraserhead, qui pour lui n’existaient que dans ce que je fantasmais sur eux (par contre il avait un bout de pain sur la joue… Le doppelganger de Farrugia n’était pas loin). Bref. Lynch musicien, Lynch gourou de mes meilleurs rêves, Lynch manipulateur, Lynch Lysergsäurediethylamid, pas de la famille de Richard mais... Cheveux blonds, blancs au moins. Je rejoins donc tout ce que dis Jeremie en rajoutant que ce qui me scotche dans cette nouvelle saison c’est avant tout la magnifique cinématographie et la dilatation du temps, parce que le manque d’enjeu, en fait pas d’enjeu du tout, dilate. Chaque phrase, chaque mouvement, chaque idée prend 150 ans et autant d’images à exister. Je rêverais de voir ces 18 heures, affalé dans un siège dans le noir, avec un nouveau mode Sensurround, c’est du pur cinémaudio. J’ai lu a droite et a gauche que les CGI bla bla et autres réflexions de débiles resosossiables en carton et kikou lol… Mais merde vous avez déja vu un film de Lynch ? Ou juste un film ? Depuis le hurlant bébé en caoutchouc jusqu’à l’arbre à tête de chewing-gum, tout est factice et tout se répond, c’est la base même du réel Lynchien. Lynch est en pleine liberté c’est sur. Libre de réinventer le générique de début, attendu pourtant, devenu brumeux et aqueux. Libre de virer tout le coté soap de la série, de même virer la musique omniprésente, jazzy-cool mais soulante de l’Angelo pour la remplacer par un traitement sonore ramenant à The Alphabet, une œuvre libre et cohérente quoi. Libre de se lâcher sur un monde mauve en ouverture du 3e épisode et de passer 10 minutes à liquéfier ton cerveau qui pensait pourtant bien connaitre les films des frères Lumière. Libre de rappeler qu’il y a quand meme un moment ou Laura palmer, dans un monde précédent, se demandait si dans l’espace on chute ou on flotte. Libre d’être incroyablement, et pour une fois vraiment totalement ouvertement, drôle (putain la clé, Wally..), ça ramène à la scène de poulet dans Eraserhead. Libre se se lâcher sur le gore, le cul, le hyper malsain (le "Say fuck me“ du mauvais Sailor et Lula est définitivement éclaté avec la scène entre Cooper et.. bref… tétanisant). Libre de lâcher des trucs pour les fans mais qui prennent totalement ces derniers à contre-pied (Bobby Briggs ?) Ce qui me fait juste flipper c’est que ça ressemble à un chant du cygne. Une fin en soi. Un condensé de toute une œuvre. J’espère vraiment que Lynch en a encore sous le pied pour nous embarquer dans ce genre d’expérience de LSD sans drogues. Ce genre d’art absolu et magnifique. Un truc qui vibre immobilement. Ce qui est flippant c’est que sur le 3 premiers épisodes, on égraine les morts dans les génériques de fin. Quelle classe de finir chaque épisode, non pas sur une question mais sur un morceau de musique. Reste 14 épisodes, 14 heures réalisées par Lynch. Va falloir faire péter le café et les tartes aux cerises. Je m’attendais à tout… au pire pour être vraiment honnête… Je n’imaginais pas ce bonheur Lynchien. Ce démesuré claquage de donut.
  14. Une arnaque aussi finaudement moisie que Get Out. Je confirme. Mais... C'est comme avec hanouna ou les trucs qui affolent avant même d'être vus, tant qu'il y aura des gens pour bouser ce genre de buzz, et inversement, pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Ce qui me terrifie le plus dans ce film c'est que l'abruti qui a fait ça a l'air très sérieux et sincère.
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