Aller au contenu

Benj

Modérateur
  • Compteur de contenus

    11 061
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    8

Benj a gagné pour la dernière fois le 1 août 2023

Benj a eu le contenu le plus aimé !

À propos de Benj

Visiteurs récents du profil

Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.

Benj's Achievements

Tsui Hark

Tsui Hark (6/6)

7

Réputation sur la communauté

  1. Ouais j'avoue le BR est léger. Le BR Shout Factory possède pas mal de bonus.
  2. Je n'y allais pas avec une confiance solide et finalement j'ai beaucoup aimé. Alors certes ça patine un peu au départ et on croit que ça va être ultra cheap mais ça s'améliore assez rapidement. En fait y'avait tout pour que ça parte en couille. Le gars à une main possédée et doit jouer avec ça. Ça aurait pu faire très nase mais on sent l'acteur impliqué à mort pour rendre le truc ultra golmon et assumé. Même les cascades sont folles. Pareil les potes bédaveurs, on aurait pu avoir des sidekicks shiteux pas drôles et en fait toutes leurs vannes sont sympas et c'est pas lourdingue. Le perso de Jessica Alba aurait pu être ultra classique aussi, bah là non, elle joue une meuf un peu slutty sur les bords mais aussi légèrement nunuche, et du coup au bal on la voit danser comme une poupée désarticulée qui va bien dans le ton du film. Alors c'est clairement pas parfait, la fin est un peu bof, le perso de Vivica est nase, et comme dit plus haut, la réalisation au début est hésitante. Mais en vrai ça m'a rappelé Evil Dead 2 sur les bords. Quand l'horreur gogol est assumée c'est ce qu'il y a de meilleur.
  3. Benj

    Pink Cadillac - Buddy Van Horn (1989)

    Oui bah j’ai pas vérifié mes sources voilà qu’est ce que vous voulez que je vous dise.
  4. Benj

    Pink Cadillac - Buddy Van Horn (1989)

    Oui mais il n’a plus tourné pour personne d’autre que lui après celui là.
  5. Je voulais le montrer à ma concubine qui ne l'avait jamais vu, bah ça a été la douche froide, pour elle comme pour moi. C'est pas un Smith que je plaçais très haut mais il y a 10-15 ans je le regardais avec plaisir. Aujourd'hui faut avouer que ça a très mal vieilli, déjà à l'époque c'était pas fou mais 30 ans après ça l'est encore plus. La faut à un scénario finalement pas très intéressant, des love story pas bien écrites du tout et qui se concluent merdiquement (les 2 gars ont fait quand même zéro progrès à la fin du film pour mériter que leurs meufs reviennent vers eux en fait), et les parties avec Jay & Silent Bob en mode slapstick font ultra ringardes aujourd'hui. Puis le passage et la diatribe de Stan Lee est quand même mal branlée et totalement vide de sens. Après il reste quand même l'ambiance des malls de l'époque, des acteurs cools comme Jason Lee, Ben Affleck et Michael Rooker et les filles sont cutes. Je sais que le film a souffert de l'omniprésence d'Universal sur les épaules de Smith donc le scénario en a pâti. Néanmoins avec un regard d'adulte aujourd'hui c'est dur de voir un film qui a l'air d'avoir été écrit par un mec de 16 ans qui lit trop de comics.
  6. J'y allais avec de bonnes intentions mais non finalement c'est pas ouf. Perso j'aime bien quand des acteurs qu'on voit souvent sérieux s'amusent à faire les golios dans des films, comme De Niro dans Mad Dog & Glory ou Nous ne sommes pas des anges. Ça ne me dérange pas si ils s'amusent. Ici le père Clint se déguise pour choper les criminel et parfois fait des grimaces, comme quand il joue un patron de casino gominé ou quand il joue un bouseux pour infiltrer un gang. C'est vraiment les seuls moments qui suscitent l'interet dans le film. Parce que sinon le reste c'est pas terrible. Les méchants sont pas assez méchants, et pourtant le chef du gang des néonazi c'est Murdock de MacGyver, mais quand faut sanctionner un membre du groupe bah c'est un peu mou du gland. Bernadette Peters convainc moyennement. Et Buddy Van Horn ne sait pas insuffler du dynamisme à son film qui dure pas loin de 2h. Et on regarde souvent sa montre parce que le road trip est finalement peu intéressant et que l'escapade de la fin est tellement à chier. C'est pas totalement nase, comme dit plus haut il reste les moments ou Clint fait le clown (assez rare dans sa carrière), on aperçoit Jim Carrey dans un coin, Murdock est présent mais trop sage, et puis y'a Sven Ole Thorsen qui joue un gros nazi. Clint a eu raison de prendre en main sa carrière après ça, de réaliser les films dans lesquels il joue et de laisser Van Horn gérer les cascades.
  7. Benj

    Black & White - James Toback (1999)

    Bientôt j'ai un podcast sur les films contenant un rappeur voire plus. Ça et un sur les films de chiens voire plus.
  8. C'est à chier. Toback s'est pris pour un anthropologue et s'est dit que ça serait cool de raconter l'histoire de petits blancs bourges qui se prennent pour des noirs des ghettos. Sauf que c'est écrit par un mec qui a douze ans d'age mental qui a trop écouté Limp Bizkit. Et en fin de compte tout son délire tient dans sa scène de classe où les élèves sortent un laïus merdique sur ce qu'est l'identité. Bon après c'est Jared Leto le prof fallait pas non plus en attendre trop. Toback s'est dit qu'il fallait que ça soit un film chorale donc on a tout un tas de stars diverses et variées qui viennent raconter rien du tout. Claudia Schiffer est anthropologue, Mike Tyson joue Mike Tyson et a une scène d’agression homophobe sur Robert Downey Jr. hyper malaisante car un peu trop réelle sans doute, la moitié du Wu Tang vient dire bonjour pour vraiment que dalle. Chacun récite son petit truc sur ce qu'il est, la race, la vie, et chacun raconte vraiment vraiment de la merde. Mais vraiment Brooke Shield qui vient en dreadlocks faire un docu sur les jeunes blancs avec sa DV c'est tellement puéril. Et au milieu du film on passe à un film de gangster/rappeur complètement anodin. Donc non seulement il essaie d'ouvrir des portes imaginaires dont tout le monde se cogne mais en plus il ne les referment pas vu qu'il passe complètement à autre chose au bout d'un moment. A la fin ça se termine par Raekwon du Wu Tang qui dit que le hip hop c'est le hip hop, c'est universel, c'es timmortel. Merci vraiment James. Mention spéciale à Bijou Phillips et ses dents dégueulasses, effroyable actrice.
  9. Encore une création autour des super-héros alors qu'on pensait qu'on commençait à passer à autre chose. Mais c'est assez frais et c'est marrant, finalement le concept de super-héros passe au second plan vu que tout le monde à un pouvoir donc c'est pas gavant et surtout les pouvoirs sont prétextes à faire des gogolités. La série fonctionne bien surtout graçe aux acteurs qui ont tous des tronches pas possibles. Mention spéciale à la coloc blonde qui est excellente en grande saucisse niaise.
  10. Bon y'a des films de l'adolescence qu'il ne faut pas revoir. Et celui là pour moi en fait partie. Je n'ai pas passé un mauvais moment, mais y a des trucs qui font que je suis un peu mitigé. Déjà et c'est personnel, mais le délire de Burton de l'époque avec ses personnage torturés et sensibles qui se cache dans la noirceur de leur être torturé et sensible, bon en tant qu'adulte je trouve que ça fait un peu gamin. Mais après c'est sa persona Emo et tant mieux pour lui et ses sacs à dos Jack Skellington. Quand au film, je me suis demandé pourquoi Winona (qui joue comme une pantoufle) tombe amoureuse d'Edward, y'a aucune alchimie entre eux, y'a aucune raison pour qu'elle s'attache à lui hormis le fait que son boyfriend soit une grosse merde que l'autre non. Il aurait été adopté par la voisine elle en aurait rien eu à foutre Winona. C'est Burton qui voulait son couple de grands enfants torturés et c'est tout. Voilà et sinon comment ils chopent des cubes de glaces de 3m pour que l'autre flan fasse ses sculptures ? Et à la fin comment il les remonte avec ses pinces dans son grenier ? Bref, c'est rien en fait comme reproche, Burton a fait un Frankenstein Emo finalement, y'a des passages cools, mais c'est noyé dans son délire de mec sombre culcul et j'ai eu du mal en fin de compte avec ça. Fallait pas que je le revois en fait.
  11. Je pensais ne l'avoir jamais vu, mais merci le forum car à priori je l'avais déjà maté en 2009 et je m'étais fait chier. En 2024 je me suis moins emmerder, même si je trouve que ça traine en longueur, et c'est toujours le cas chez Lumet. J'ai bien saisi qu'il fallait vraiment approfondir le sujet pour bien se rendre compte que Serpico est seul face au reste du monde, mais en vrai 30 minutes de moins et c'était plié. Après Pacino s'éclate dans son rôle de flic clodo et ses chapeaux de crado et il casse une chaise à un moment.
  12. Benj

    Vos lectures du moment

    Watchmen - Alan Moore / Dave Gibbons Ça ne m'a pas transcendé plus que ça. Je voulais le lire puisque apparemment c'est l'un des meilleurs comics ever (c'est écrit sur le verso). Je ne suis pas comics de base donc premièrement le style graphique c'est pas ma came. Après je n'ai pas été fan de la double lecture avec l'histoire du corsaire et du kiosquier. Je pige, ça raconte le chaos etc... mais ça m'a rallongé la lecture pour pas grand chose au final. Et des inserts en fin de chapitre n'apportent pas grand chose pour la plupart. Après je l'ai lu après avoir vu le film, je connaissais donc l'histoire générale de base. Je préfère ce Rorschach facho, et qui est bien plus raccord avec la toute fin dans le comics. Et le but d'Ozymandias avec son poulpe est quand même mieux et plus forte que dans le film.
  13. En 1997 quand c'est sorti et que tout le monde en parlait ça me saoulait bien. Genre le cinéma de gauche plein de poésie avé l'accent qui chante, l'amour, le social, etc... Bon parfois ça fait vraiment théâtral, y a des dialogues qui ont été mis là juste pour dire sans dénoncer vraiment (la conversation de la voisine sur Cuba). Et parfois ça ne joue pas très bien, Gérard Meylan j'ai eu peur. Et bon perso, la joie de vivre et les sourires permanent à chaque repas parce que cong on n'est pas les plus à plaindre ressert moi un coup de pastaga, à un moment ça m’énerve légèrement. Mais au final j'ai bien aimé ce faux huis clos entre les murs de cette cour où tous les habitants se croisent. Ariane Ascaride est formidable, le gosse est marrant, y'a une baston de bar vraiment crade, et tout ce qui a attrait au social est plutôt soft. Je m'attendais à devoir sortir la corde façon La Loi du Marché mais c'est plus doux, moins grotesque.
  14. Donc un film de Chatilliez sur deux personnages grotesques qui rotent, pètent et volent. Au final c'est pas trop nase puisqu'on a quand même des moments sympas entre les deux acteurs à fond dans leurs rôles, quoique à la limite du cringe parfois. Y'a des petits gags ici et là qui fonctionnent. Mais c'est difficile tout de même de ne pas imaginer le regard autain d'un bourge comme Chatilliez sur une population qui ne demande rien. Alors c'était contrebalancé dans La Vie est un long fleuve tranquille vu que les bourges étaient aussi vilains que les pauvres, mais là y a pas ça, au pire les riches disent des choses pas gentilles sur les pauvres, c'est un peu léger tout de même. Puis on dirait qu'ils ne savaient pas comment finir leur film passé le gimmick des deux qui se volent l'un l'autre. Sinon Eric Berger je ne pourrais vraiment jamais.
  15. Bien aimé sans plus, je n'ai pas senti passer les 2h. Après y a ces flashbacks mal branlés qui cassent un peu le rythme, et des acteurs occidentaux au rabais vraiment moisis qui me rappellent un peu ceux qu'on engageait dans les vieux Godzilla. Puis ça pousse encore trop loin l'histoire avec la toute fin un peu trop dramatique pour pas grand chose. Song Kang-ho bouffe tout le casting.
×
×
  • Créer...