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Commissaire Tanzi

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Mario Bava

Mario Bava (4/6)

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Réputation sur la communauté

  1. Commissaire Tanzi

    Retro Gaming

    C'est un gros procès d'intention car je ne l'ai pas lu, mais Julien Chieze est un vrai repoussoir pour moi. Du coup je passe.
  2. C'est un long métrage, c'est du cinéma et qu'on te raconte un truc, même si c'est pas le Parrain 2, c'est le minimum. Je vais pas dire que je partais gagnant en y allant mais les bonnes critiques me laissaient penser que je verrai un truc potable. Même pas. Honnêtement, je préfère le navet des années 90 à ce truc.
  3. De très loin un des pires dessin animé que j'ai jamais vu. Jamais drôle, sur un rythme de pub/bande-annonce pendant l'intégralité du métrage, ça ne raconte rien...la négation même du cinéma pour ma part
  4. C'est pas forcément le côté CGI, c'est plutôt la banalisation des plans de destruction massive qui me lasse. Je ne vois pas qui peut encore s'y laisser prendre, il y trois films par semaine avec ce genre de séquences.
  5. Je me demande qui est encore impressionné par des séquences d'effets spéciaux de ce type en 2023.
  6. La série semblait s'orienter vers ce genre de merde depuis le deuxième film, je suis pas plus surpris que ça...
  7. La BD est un road trip à travers l'Amérique, avec énormément de personnages alors que la série, pour la saison 1, concentrée sur un lieu unique, où effectivement, il ne se passe pas grand chose. Pas eu le courage de regarder la saison 2.
  8. Roderick Usher Messages : 1388 Inscription : ven. avr. 30, 2004 10:17 am Contact : Contacter Roderick Usher Eve of destruction - Duncan Gibbins - 1991 Message par Roderick Usher » lun. oct. 23, 2023 2:42 pm L'armée américaine perd Eve 8, prototype de robot d'infiltration et bombe nucléaire à retardement. le super agent anti-terroriste Jim McQuade, et le docteur Eve Simmons, créatrice du robot à qui elle a donné ses traits et une partie de sa mémoire, se mettent à sa poursuite. Malgré les très mauvaises critiques lues à sa sortie (et même encore aujourd'hui), malgré le fait qu'il s'agisse d'un sous-Terminator (film que je trouve de plus en plus bête à chaque vision), un petit truc m'a poussé à le prendre dans ma dernière commande du Chat qui fume. Est-ce que c'est l'époque, qui vit un sursaut de vraies belles séries B sortant encore en salle? Est-ce que c'est l'image d'un cyborg en cuir rouge mitraillant les rues avec un Uzi? C'est peut-être un peu tout ça...mais en l'état, ça me rassure, j'ai encore un peu de flair car j'ai trouvé ça mortel. L'idée d'avoir un Terminator qui devient l'incarnation des pulsions inconscientes de son créateur, après avoir subie la violence du monde qui l'entoure est une idée très bien exploitée, elle donne en sus une dimension féministe qui détonne avec les films de l'époque. On pourrait penser à une pure interprétation mais: Autre différence notable, le traitement des personnages, proche d'un cinéma des années 70, à hauteur d'humain, avec de longues plages dédié à leurs développements et à l'acting pur (un des gros points forts du film). Renée Soutendijk joue la créatrice et le robot, et la facilité aurait été d'en faire un personnage froid et déshumanisé. Ce n'est pas le cas ici. Bien au contraire, c'est une part d'elle-même, de sa colère et de ses frustrations qui est lâché dans la rue et qui est perçu comme une menace. Quand à Gregory Hines, il est absolument parfait, ce n'est pas un gros tank sûr de lui, c'est un personnage réfléchi, méthodique et qui croit en ce qu'il fait. Si les toutes dernières minutes du film sacrifient aux canons du cinéma débile de cette époque, il reste tout de même une petite série B étonnante, très bien écrite, et qui ne dévie jamais de son intrigue. Pas un chef d'oeuvre, certes, mais je regrette vraiment d'être passé à côté à sa sortie.
  9. Tu n'es pas seul. J'ai pas été au bout de la saison 1, je trouve ça trop con-con pour les mêmes raisons que toi. Quand à la blessure secrète, avec tristesse toute en retenue, de Sudeikis vis-à-vis de sa femme, ça me donne envie de passer ma TV par la fenêtre. Je dois pas être un type gentil.
  10. Gannibal, série en 13 tome qui vient de s'achever, et gros gros coup de coeur. Sur un canevas mi-horreur, mi-film noir, on se retrouve avec un récit original, réussissant à la fois à raconter une histoire glauque du Japon, mais aussi une histoire universelle, mettant côte à côte la violence d'une modernisation à marche forcée et des traditions pas franchement cool. Le récit commence tranquillement, puis se tend très rapidement et atteint de niveau de suspense que j'ai rarement vu en BD. On pense à Wake in Fright ou à Massacre à la tronçonneuse évidemment, mais c'est une bd qui trace sa propre route. Une série live existe sur Disney+, je vais tenter le coup.
  11. Etran de l'Aïr, 4 nigériens habillés en touaregs qui mélangent musique africaine, krautrock et surf, avec une grosse énergie sur scène. Les mecs font partie d'un circuit de groupe de mariage, j'aurais peut être pas divorcé si ils avaient joué au mien. https://youtu.be/C9c-fDX5x10?si=0WR6J2USNUSzjH0d
  12. Ce sont les deux réalisateurs de Terrible Jungle, que j'ai adoré et que je tiens pour la meilleure comédie française depuis des années. Ici tout partait pour me plaire, un casting béton en second rôle (Raphaël Quenard, Emmanuelle Bercot, Gustave de Kervern) et un environnement très original, mais malheureusement, tout est trop centré autour de Jonathan Cohen. Tous ses gags tiennent sur son jeu d'acteur et ses probables impro, ce qui est dommage car les deux reals ont un excellent sens de l'absurde. D'ailleurs, la scène que j'ai trouvé la plus drôle du film, c'est le rendez-vous sur le parking, où tout est basé sur la mise en scène, et où Jonathan Cohen est absent. Après, même si je suis un peu déçu, ça fait quand même le job.
  13. J'avais très envie d'y aller, mais 2h45 + la mention "Part1", ça m'a stoppé direct.
  14. Un théâtre est pris en otage par Yannick, un spectateur mécontent de la qualité du spectacle. Nouveau film de Quentin Dupieux qui décidément, tient un rythme assez exceptionnel pour un cinéaste de notre époque. Alors est-ce que ça va réconcilier les réfractaires au réalisateur ? Pas impossible, le film partant cette fois sur un postulat ne reposant ni sur l'absurde, ni sur du fantastique. La mise en scène est épurée, la photo plus discrète que d'habitude et tout repose sur l'interprétation. Évidemment Raphaël Quenard est dans la majorité des plans mais au final, c'est surtout Pio Marmaï qui m'est resté en tête, son personnage évoluant plus que les autres. La marque Dupieux se retrouve surtout dans la tonalité du film qui est légère tout en abordant une thématique casse-gueule comme le racisme de classe. Et puis ça dure 67mn et rien que pour ça...
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