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JEMO

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Bruno Mattei

Bruno Mattei (2/6)

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Réputation sur la communauté

  1. JEMO

    Joey Gay Star

    Je pense qu'il parlait de ça y compris dans son milieu bareback, et strictement par rapport a la question de la notoriété pure, quoiqu'elle evoque. Il avait d'aileurs rajouté un truc du style "moi le premier, à l'époque où Gaultier était encore potable par exemple, et que je n'etais pas encore connu, j'aurais jamais rien fait avec lui...justement parce que c'était Gaultier".
  2. JEMO

    Joey Gay Star

    De toutes façons le concept de popstar ou starlette gay lancée pour la communauté est assez improbable en soit. On sait très bien qu'il ne suffit pas de lancer un bogoss un peu comme ci comme ça pour qu'il emporte l'adhésion de sa communauté, ça marche pas comme ça et dans ce sens. Ca place souvent beaucoup de mecs nez à nez avec leur propre narcisse et l'ambiguité des relations mec-mec (amant possible mais aussi concurrent direct). Les mecs ont plutot tendance a snober ou jalouser le truc et à se dire qu'ils devraient plus ou moins prendre sa place sous les feux de la rampe dans un domaine ou un autre, et ne valident pas. Demandez à JP Gaultier ou Guillaume Dustan (RIP) s'ils se sont tapés plus de mecs avec leur notoriété, la réponse est non, ils sont souvent sexuellement snobés parce que justement connus. Si le mec est une simple porn-star ou modele, dans tous les cas gravure muette de papier glacé au role purement plastique, à consommer avec un kleenex à proximité, là ça peut passer, parce qu'il est purement utilitaire pour son plaisir perso. Si le mec projette un statut avec notoriété sociale ou artistique, médiatique grand public etc, qui risque de faire de l'ombre à tes propres projections mythos de people ou artiste (combien de gays vendeurs au BHV ou comptables, se pretendent artistes, stylistes ou comédiens parce qu'ils bricolent des t-shirts dans leur chambre ou ont déposé un cv sur un vague site internet de casting...ou t'annoncent sur les chats qu'ils sont directeurs marketing à 19 ou 20 ans...), là c'est niet direct il devient concurrent. + ça pose aussi le problème de valider sa propre identité, quand on sait que la cible à atteindre est souvent quoiqu'il arrive hétéro, authentique et ultra-virile. Stratégie marketing foireuse et vouée à l'échec dans...allez...95% des cas quand meme (mode vieille salope jalouse qui se réjouit : ON )
  3. JEMO

    Joey Gay Star

    J'ai pas vu, ni entendu les chansons du mec, mais c'est effectivement et a priori, par sécurité, l'idée que je m'en fais aussi au premier abord...les gays ont tellement le culte de l'hétéro que ce type démarche, quand meme casse-gueule rien que sur le papier et au fort potentiel ridicule, n'est pas si suprenant que ça...et encore moins que le mec soit insupportable dans son role, je veux pas extrapoler mais si c'est pas une frapette plus ou moins sorti de je ne sais où, vague acteur porno ou assimilé qu'on balance comme un "coup", peut etre drole 5mn, avec la légendaire finesse des gays pour les références viriles grossières et la beauferie dès qu'il s'agit d'atteindre ou fantasmer le nirvana hétéro, a grands renforts de hype bidons à étiquettes mythos, je me demande bien ce que c'est et d'où il sort alors... Mais bon c'est quand meme un concept de rap bis assez fumant en soit (c'était pas Doc Gyneco qui avait pensé à écrire a une époque un "Ray Gay Night? ). Je demande a voir en tous cas.
  4. JEMO

    Joey Gay Star

    Premier album en preparation, avec la participation de Lady Lesbi et DJ Godefingers (veridique!). Moi j'dis...y'en a qui cherchent la merde interview http://www.kelma.org/lesnews/news/joe_gay_star.php quelques morceaux choisis... "J’ai été très bien accueilli dans des boîtes 100% hétéro mais pas connotées hip hop" on s'en doutait un peu, je demande à voir ce que ça donnerait dans un festival 4 my people "Beaucoup, comme Booba, parlent utilisent des codes de violence pour vendre, alors qu’ils vivent désormais tranquilles dans leur salon. C’est devenu un bizness de la violence. Ils n’arrêtent pas de dire qu’il ne faut pas baisser son froc mais ils ont fait des compromis commerciaux. Joe Gay Star vient tous les enculer !" Joey Gay Star, le premier rappeur qui encule au sens propre ses concurrents. tiens c'est un bon slogan ça, et les autres vont etre ravis d'apprendre ça, ceci dit y'en a pas beaucoup qui doivent trainer sur le site de Kelma
  5. JEMO

    Nang Nak - Nonzee Nimibutr (1999)

    Et ça fait super plaisir de lire ça et de voir que ça transpire aussi dans leur cinéma ! Quand on connait les talents impressionants que recele la scene thai musicale, totalement insoupçonnée et ignorée, et la fibre mélomane innée qu'ont les thailandais. c'etait ma petite minute militante
  6. Eh bah j'ai revu Daughter of Darkness et vu pour la premiere fois Ebola Syndrome, bin ça vaut pas tripette quand meme. Cheap, over too much et provocant juste pour l'être, les films doivent remplir leur quota de transgression, mauvais gout, racisme, sexisme, gore etc, mais je sais pas...ça semble pas super honnete dans la démarche, c'est laid, et pas spécialement inspiré.
  7. J'ai lourdé le dvd à 3 euros, que j'ai du payer 2 à l'époque, enfin bref. Pas pour acheter le Neo hein, juste pour ne plus l'avoir, sur de pas le revoir tellement y'a pas grand chose/rien/que dalle/nib a se foutre sous la dent
  8. JEMO

    Calvaire -Fabrice Du Welz - 2005

    Vu enfin, trainait à 10 euros d'occase, le DVD etait pas donné a sa sortie, mais faisait envie, donc je me suis lancé. Deception. Vu la réputation que le film se trimbalait, j'aurais peut etre mieux fait de lire ce thread avant. Le film tente bien de souligner son cheminement et nous informe par plans symboliques là où il est censé en être et nous avoir amené psychologiquement : la fourgonette cramée et le mec assomé au sol dans ce long plan débutant l'enfermement plus concret et violent, jusqu'à la scène de reveillon et de folie filmée en zoom tourbillonant et cut sur parties de visages rappelant celle de Massacre a la tronçonneuse, etc, c'est assez ethétique, mais pour le coup un peu inutile et gratuit tellement le film peine a convaincre sur le reste pour reussir a nous emmener dans quelque chose de vraiment viscéral. En dehors de la photographie (trop appuyée souvent, c'est gris-gris, vert-vert, blanc-blanc et ca rend le film trop clinique) et des effets de style, il n'y a pas grand chose d'autre au service du propos du film. Les petages de plomb un peu surréalistes (la scène du bar) sont mal venus et apparaissent comme prétentieux parfois, le real se permet des effets de style de ce type là où il devrait plutot faire plonger son film avec poigne et par les burnes. Ils désamorcent encore un peu plus un traitement finalement timide ou quotidien, qui mets du temps à effleurer des ébauches sans aller jusqu'au bout, ça méritait sans doutes d'aller bien plus loin. Le concept du film sur la solitude en vie rurale, amenant confusions mentales et petages de plomb possessifs, est bien peu crédible et trop souligné. On avait deja bien compris au début avec la scène de la maison de retraite, ca devient de plus en plus gros et n'importe quoi
  9. Grosse deception, Gondry n'exploite pas trop son sujet, son film est avant tout un écrin pour son univers, qui finit par se repeter et tourner en rond, ça se traine en longueur et il est incapable de mener correctement son histoire, l'ennui gagne assez vite. Chabat fait du Chabat, Gainsbourg et de Caunes confortent le public bobo, c'est limite prétentieux derriere ses airs naifs et regressifs. Tenir jusqu'au bout a été proche du calvaire, et la pensée d'une deuxième vision me pétrifie
  10. JEMO

    Le Chat qui Fume

    Ayé je l'ai. Acheté neuf à prix fort 20 euros avec mes vrais sous à moi et tout Sinon ok c'est bien de l'avoir acheté déjà, mais on est obligé de le regarder ou pas après ?
  11. Je comprends pas non plus pourquoi tant de haine pour ce film. Inférieur à Anaconda déjà bien bis mais ô combien sympathique avec une bonne ambiance, donc fallait pas s'attendre à autre chose qu'une suite du meme tonneau (psychologie des personnages taillée au sylex, exotisme bon enfant, etc) Et c'est le cas, avec quelques réserves mais pas de quoi crier à la deception flagrante ou au scandale. Ca se traine un peu plus, ça lorgne trop du coté du film d'aventures pur, la fin est expédiée, les anacondas sont montrés et tués a la va vite parce qu'il faut bien finir mais le film est deja ailleurs depuis longtemps. C'est le principal reproche, sinon ça divertit et tient la route.
  12. tout pareil, bonne surprise également, je comprends pas la volée de bois vert qu'a pu se prendre ce film. c'est clairement pas le film du siècle mais il est suffisament reussit et à part pour mériter qu'on s'y arrete, voir mériter qu'on le possède. le traitement psychologique est convaincant. Edité par Néo donc on y va presque les yeux fermés un peu sur le meme mode que la Louve sanguinaire : film mineur, pourquoi bancal ou minimaliste, mais qui possède un caractère suffisament particulier.
  13. BVP c'etait du no limit a une heure de grande ecoute, je trouvais ça délicieux de voir un tel truc programmé a une telle heure, en plus du fait que c'etait hilarant. Je trouvais Baffie tres fort dans les ressorts et la construction de ces petites histoires over-speed et totales vulgaires, c'etait la premiere fois que je le voyais faire quelque chose d'écrit en dehors de son free style poil a gratter téloche, et je trouvais ça prometteur. Les clés de bagnole, pareil que certains, vu en salle quasi-deserte, partagé entre le bon moment global que fait passer le film et certaines faiblesses, Baffie qui se contient souvent, rate certains objectifs ou le jeu parfois pas très juste par rapport aux intentions.
  14. Vu ! enfin. Vu la réputation du film je m'attendais a du gros Z foutraque, et en fait c'est plutot du bon gros bis qui débourre, plutot pas mal torché et généreux, pas si fauché que ça. Bon ok c'est pompé en tous points sur Les dents de la mer, ça a le mérite d'etre clair et de pas trop noyer le poisson (huf huf huf) sur ce point, c'est quand meme bien nawak par ci par là (le requin qui déplace des pierres et tire des ficelles, les maquettes et stock-shots pourris) mais Castellari ose pas mal de trucs et ne complexe jamais face à son requin, avec une bonne santé jamais prise en défaut. la touche bis ritale est bien là (à la chanson du générique on sait deja où on est...), une touche qui fera toujours la différence (l'impression de regarder un film, aussi bis soit-il, et pas un faux téléfilm aseptisé et télécommandé) avec n'importe quel Nu Image y compris les meilleurs type Spiders & co. Vu la pauvreté navrante, et souvent très peu fun du genre "attaque de requins" hormis les trop rares 4 dents de la mer et Deep Blue Sea, La Mort au Large devient une piece de choix, dans le genre. Un flim qui blaste.
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