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fantomas 2

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Bruno Mattei

Bruno Mattei (2/6)

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  1. Je redoute le pire. C'est même le tagalog de la redoute Kolossale finesse mise à part, Regal est une grosse boîte de production philippine qui produit pas mal de films fantastiques, on pouvait les trouver en VHS ces dernières années, mais depuis quelque temps ils ont opté pour le DVD, avec l'avantage de sous-titres en anglais (parfois, pas toujours). Parmi leurs films du genre: - Biokids - 1989, de Ricardo Osorio - Impaktika (She-Devil) - 1989, de Teddy Chiu - Takbo... Bilis... Takbooooooo ! - 1987, de Carlo J. Caparas - Tiyanak - 1988, de Peque Gallaga & Lorenzo A. Reyes - Alyas Batman en Robin - 1991, de Tony Y. Reyes - Anak ng Dilim - 1997, de Nick Lizaso - Aswang - 1992, de Peque Gallaga & Lorenzo A. Reyes - Balawis - 1996, de Maurice Carvajal - Batang-X - 1995, de Peque Gallaga & Lorenzo A. Reyes - Balawi Jack - 1998, de Philip Ko & Teddy Gomez - Dugo ng Birhen (Blood of the Virgins) - 1999, de Rico Maria Ilarde - Dyesebel - 1997, de Mel Chionglo - Guwapings : The First Adventure - 1992, de José Javier Reyes - Impakto - 1995, de Don Escudero - Adventures of Gary Leon at Kuting - 1992, de Peque Gallaga & Lorenzo A . Reyes - Madonna... Babaeng Ahas - 1992 - d'Artemio O. Marquez - Manananggal sa Maynila - 1997 - de Mario O'Hara - Regal Shocker, the Movie - 1990, de José Javier Reyes - Sa Piling ng mga Aswang - 1999, de Peque Gallaga & Lorenzo A. Reyes - Shake, Rattle and Roll - (toute une série de films d'horreur à sketches) - Vampira - 1994, de Joey Romero - Bahay ni Lola (Grandma's House) - 2001, de Uro Della Cruz - Maderazo, Bayad na Pati Kaluluwa Mo - 2001, de Francis "Jun" Posadas - Pangarap ng Puso (Whisper of the Demon) - 2000, de Mario O'Hara ... et plein plein d'autres. J'en ai vu quelques-uns, une dizaine, et c'est pas mal du tout, très dépaysant, et peut-être une boîte de DVD française serait-elle bien inspirée d'en sortir quelques-uns.
  2. Modo, modo, m'sieur... m'sieur ! Y'a le gars Joe qui fait rien qu'à m'embêter
  3. C'est malin ! Mais en l'eau-cul-rance, on parle de Sweeney Todd, donc de la version anglaise, donc on doit lui donner un look conforme à cette version, ce qu'ont très bien compris les auteurs de la comédie musicale - que ce soit à Broadway ou à Londres - et comme c'est justement cette comédie musicale qu'a choisi d'adapter Tim Burton, c'est une erreur de prendre Johnny Depp pour le rôle, CQFD C'est comme si Christophe Gans, s'il tourne un jour "Rahan", choisissait Sim pour incarner notre bel athlète blond des cavernes. Ou qu'on prenne Josiane Balasko pour jouer la Vierge Marie. Ou Christophe Lambert pour Vercingétorix. Comment ? ah quoi... çà a été fait. Bon. Je savais pas que Tim Burton avait tourné "Vercingétorix"
  4. Y'en a core quatre aut's ? dediou ! va fallouère que je m'accroche ! Mais je râlais pas, Johnny Depp a 43 ans certes, mais bon, il fait aussi jeunot que moi quand j'en avais 58, donc c'est trop jeune. Et puis il y a la corpulence, va falloir qu'on l'épaississe un peu, m'a l'air ben fluet ce p'tit gars-là.
  5. Annoncé voici quelques années, puis repoussé, le "Sweeney Todd" de Tim Burton est à nouveau en chantier chez Paramount... Sauf erreur de ma part, çà fera la dixième adaptation filmée (cinéma / TV) de cette superbe histoire. Rien que cette année, on a pu voir la neuvième, sur la BBC, le "Sweeney Todd" de Dave Moore, avec Ray Winstone, Essie Davis, et David Warner. En 1998, il il avait eu le superbe téléfilm irlando-britannique de John Schlesinger, "The Legend of Sweeney Todd", avec Ben Kingsley et Joanna Lumley ("L'échoppe des horreurs" en vidéo chez nous. Si vous ne l'avez pas vu, n'hésitez pas, chopez "L'échoppe" !)Et bien entendu, en 1936, le film de George King, "Sweeney Todd, the Demon Barber of Fleet Street", avec le grand Tod Slaughter. Cette fois, ce n'est pas du roman de Thomas Pecket Prest ("The String of Pearls : A Romance", 1847), ni de la pièce jouée la même année ("A String of Pearls, or The Fiend of Fleet Street", de George Dibdin Pitt), que s'inspire le scénario, mais du musical célèbre de Stephen Sondheim, dont une performance avait déjà été filmée pour la vidéo, avec George Hearn et Angela Lansbury. Ce sera donc la seconde illustration de cette version musicale. On sait que la France et la Grande-Bretagne se disputent la paternité de cette célèbre cause criminelle, et que toute cette histoire se serait en fait déroulée à Paris, durant le siècle de Louis XV, et l'écrivain Jules Beaujoint en a même tiré le sujet d'un roman, "L'auberge des Trois Rois", le barbier criminel se nommant ici Barnabé Cabard et non Sweeney Todd. Pour le reste, l'histoire est conforme, en gros, à toutes les versions : un barbier assassine ses riches clients de passage, les détrousse, et laisse à sa complice le soin de fabriquer, avec leur chair, de délicieux pâtés de viande que le tout-Paris - ou le tout-Londres, comme vous voudrez - s'arrache, y compris la Cour du Roy... Comme Sweeney Todd / Barnabé Cabard est depuis toujours - enfin, disons depuis cinquante ans quand même - un de mes personnages favoris, je me réjouis bien sûr de voir le grand Tim Burton s'attaquer à cette histoire, mais j'ai bien peur que le choix de Johnny Depp pour le rôle-titre soit une incroyable et dramatique erreur de casting: Depp n'a absolument pas la carrure (je parle du physique, non du talent, je suis le premier à aimer Johnny Depp) ni l'âge pour ce rôle. Lorsqu'il opère dans sa boutique de barbier, Sweeney Todd a déjà tout un passé derrière lui, ce n'est pas un jeune homme, et Tod Slaughter, Ben Kingsley, Freddie Jones, etc. étaient impeccables pour ce rôle... Il fallait quelqu'un comme Michael Caine, par exemple...
  6. Remake de "Sweeney" Todd, par Tim Burton (pour mémoire:) - Sweeney Todd - GB 1926, de George Dewhurst - Sweeney Todd - GB 1928, de Walter West - Sweeney Todd, the Demon Barber of Fleet Street - GB 1935, de George King - Bloodthirsty Butchers - USA 1969, d'Andy Milligan - Sweeney Todd, the Demon Barber of Fleet Street - CAN 1973 - de Herb Roland (TV) - Sweeney Todd - GB 1970, de Reginald Colin (TV) - Sweeney Todd, the Demon Barber of Fleet Street - USA 1981 - de Harold Prince & Terry Hugues - The Legend of Sweeney Todd - Irlande/GB 1998 - de John Schlesinger (TV) (vidéo FR: L'échoppe des horreurs) - Sweeney Todd - GB 2006 - de Dave Moore Curieuse idée de faire jouer Sweeney Todd par Johnny Depp, beaucoup trop jeune et fluet pour le rôle (je ne mets nullement son talent en cause). Il fallait quelqu'un comme Michael Caine...
  7. C'est d'autant plus curieux que cette volonté des Américains de vouloir imposer à tous et partout leur propre culture est finalement suicidaire. Pourquoi ? vous n'avez pas été sans remarquer que depuis pas mal de temps, le cinéma américain, totalement à court d'idées, va puiser sans vergogne dans les productions d'autres pays - y compris la Corée. Soit pour faire des remakes sans intérêt de ces films, soit pour tenter de débaucher leurs réalisateurs, dont on peut donc penser qu'ils ont admiré le talent, mais qui une fois échoués à Hollywood, ne feront plus que des films... américains, c'est-à-dire aseptisés et dénués d'intérêt. Il existe des exceptions sans doute, à cette règle, mais elles sont rares. Par conséquent, lorsque le cinéma coréen - ou tout autre cinéma non-américain - n'existera plus ou presque, il ne restera plus rien à copier aux Américains, et leur propre cinématographie s'écroulera d'elle-même. Pour ma part, bien qu'ayant admiré sans réserve le cinéma américain (souvent fait par des Européens, par ailleurs) jusqu'en 1965 environ, je ne m'y intéresse pratiquement plus. Et rien que pour faire ch... les bouffeurs de chiens chauds, je préfère mille fois me délasser devant un film asiatique, même une daube, que devant leurs films calibrés, bien propres sur eux, qui ont tendance à me faire gerber ces derniers temps. Guncrazy, s'il y a des pétitions à signer, pour défendre le cinéma coréen, sois gentil, donne-nous les coordonnées ! et que les Yankees aillent se faire pendre ailleurs.
  8. Evidemment, l'idéal serait d'avoir vu tous les films lors de leur sortie... mais seule Jeanne Calment pouvait prétendre à çà, et encore, je ne sais même pas si elle aimait le cinéma. Tout çà pour dire qu'à sa sortie, "Death Line" était une vraie bombe, surtout dans le cadre du cinéma anglais, tout de même assez réservé en ce qui concerne ce genre de gore crade... Les interventions de Christopher Lee, et de Donald Pleasence (c'est un e, pas un a, mais c'est une erreur si courante...) ne nous avaient pas du tout gênés à l'époque, elles sont tout à fait représentatives de l'humour britannique, qui n'est jamais plus efficace que dans ce genre de situations... Et c'est tout de même infiniment moins lourdingue que l'humour de certains films américains plus récents, relevant du même genre.
  9. En fait, comme le prouve la comparaison des formats d'images, le DVD récemment sorti présente un ratio correct, contrairement à la copie souvent vue à la télé (et encore voici quelques mois sur CinéCinéma Classics) où il manquait de l'image à gauche et à droite. En comparaison, le DVD offre la même chose en hauteur (le haut et le bas de l'image sont identiques dans les deux versions), mais offre beaucoup plus sur les côtés. La version "télé" m'avait toujours gêné (il est vrai que j'avais découvert le film au cinéma lors de sa sortie à Paris, ceci explique celà) par son côté "étriqué", qui faisait penser à un téléfilm. Le format correct rétabli par le DVD rend au film tout son impact. http://img232.imageshack.us/img232/3765/ismcomparaisonsmall5ds.th.png' alt='ismcomparaisonsmall5ds.th.png'>
  10. Je n'ai vu que l'autre film de Chesty Morgan, "Mamell's Story", au Midi-Minuit en son temps... Est-ce de là que vient l'expression : "Mieux vaut avoir affaire au Bon Dieu qu'à ces seins" ? non ? ben en tout cas il ont raté un bon slogan...
  11. De toute façon, tant que le gouvernement américain sera composé de gens qui veulent absolument nous faire croire qu'un Boeing a pu entrer dans un trou de quatre mètres, sans qu'on retrouve ensuite le moindre débris dudit avion, ni des passagers, sans que la pelouse n'ait été éraflée, que dalle quoi... eh bien, il sera tout aussi normal que les citoyens non encore réduits à l'état de zombies se posent des questions. Je ne dis pas que les conclusions de ces contestataires sont forcément les bonnes - çà peut être même pire... - je dis qu'ils apportent toutes les preuves qu'on se fout de notre gueule depuis le début. Et que Bush et la clique ont tout fait pour que des preuves supplémentaires ne puissent être trouvées, en détruisant des pièces à conviction... au mépris des lois de leur pays. Ca, ce n'est pas "la théorie du complot", c'est un fait.
  12. J'ai vu le film dans son intégralité. Il y a deux choses à considérer: a) les mensonges évidents du gouvernement Bush, la dissimulation de preuves, et les coïncidences extrêmement troublantes, pour ne pas dire plus. Et ce genre de choses, çà n'est pas nouveau dans l'histoire, non ? souvenez-vous de l'incendie du Reichstag... Les impossibilités techniques: aucune tour du genre des Twins, même après avoir brûlé pendant presqu'une journée comme çà s'est produit ailleurs, ne s'est effondrée. AUCUNE. Sauf - comme par hasard... - les Twins et l'autre immeuble, qui faisait aussi partie du WTC. Les soi-disant appels téléphoniques des gens qui se trouvaient dans l'autre avion. Ce genre d'appel, à 9800 mètres d'altitude, est rigoureusement impossible, et encore plus impossible le fait que TOUS les appels auraient abouti. Ca, c'est le fabricant de ces téléphones qui le dit lui-même, je suppose qu'il sait de quoi il parle. b) y a-t-il eu pour autant complicité de certains membres de l'administration Bush, de la CIA, de ce que vous voudrez. C'est effectivement plus difficile à démontrer. Mais ce qui est CERTAIN, c'est que ces gens-là mentent depuis le début. Et l'hypothèse que soulève ce film est - malheureusement - loin d'être invraisemblable. Plus de 3000 morts, et alors ? et dans leur propre peuple ? et alors ? qu'est-ce que çà aurait de nouveau, y'a qu'à ouvrir n'importe quel livre d'histoire...
  13. J'ai juste vu les deux premiers épisodes de cette mini-série, qui en comporte six, donc d'une part ce qui suit ne reflète évidemment que mon opinion, et d'autre part, j'ai encore quatre épisodes à visionner... "Corps étranger", d'Eric Valette. Même en 25 minutes, on reconnaît la patte de l'auteur de "Maléfique", dans cette histoire d'un homme qui voit ressurgir, après plusieurs années, le spectre de sa soeur morte dans un accident. Cette réapparition bouleverse sa vie familiale et l'atmosphère devient vite oppressante... Cette histoire s'intègre dans un concept assez curieux, celui d'un petit village perdu nommé Sable Noir où, le 3 novembre de chaque année, les habitants se terrent chez eux, la rumeur prétendant que les rares villageois ayant osé sortir ce jour-là ont totalement disparu. Le problème, c'est justement ce concept, qui est évoqué dans le dialogue de cette première histoire, mais ne sert strictement à rien dans le scénario lui-même. Mieux, ce concept n'est même plus abordé dans la seconde histoire, "La villa du crépuscule", de François Rivière. En fait, cet épisode pourrait tout aussi bien se passer dans un autre village, voire un autre pays. Le scénario n'a strictement aucun intérêt, bien qu'il parte d'une idée intéressante, celle d'un jeune homme qui veut se faire le biographe d'une actrice défunte, vedette de trois films de Lucio Fulci. L'accès de la villa de cette dernière lui ayant été interdite par un gardien, il s'y introduit de nuit, dans l'espoir de retrouver un film perdu, jamais projeté nulle part, et que l'actrice avait également produit. Des idées intéressantes, mais l'exemple même du scénario "de cinéphile", c'est-à-dire des idées éparses, mais ne menant nulle part. Seul intérêt de l'entreprise, la présence de Catriona McColl, à qui l'on demande de jouer son propre rôle... mais même là, vous risquez d'être déçus. Si vous voulez voir la belle Catriona dans un téléfilm français de SF, revoyez plutôt "Noires sont les galaxies", où elle a réellement quelque chose à faire... Malgré la bonne ambiance du premier épisode, ce second opus vient donc compromettre l'équilibre de l'ensemble. Pour l'instant, je n'éprouve pas une envie pressante de voir la suite...
  14. Tout à fait d'accord avec l'opinion générale. Lorsque j'avais découvert ce film en version italienne, voici déjà pas mal de temps, je me souviens qu'on s'est regardé interloqués, avec les potes - tous amateurs de cinéma fantastique, de Matheson, et de Price - et qu'on s'est demandé si les types qui avaient écrit tant de mal sur ce film l'avaient réellement vu !!! Je le trouve excellent, du début à la fin, malgré les petites erreurs signalées (c'est assez curieux d'ailleurs, car ce genre d'erreur est facilement rattrapable en laboratoire, je me demande même si çà n'a pas été simplement oublié par le labo... On peut très bien "foncer" une scène tournée de jour et supposée se dérouler dans la soirée...). Quant à la ressemblance indéniable avec "La nuit des morts-vivants", la chronologie nous indique que c'est forcément Romero qui s'est inspiré de ce film. Ratio d'image mis à part, vous mettez quelques plans du film de Ragona / Salkow dans le Romero, personne ne s'en apercevra ! La version italienne, signée uniquement par Ubaldo Ragona, n'a que quelques plans de différence au départ (dans la ville morte), mais tout le reste du film est le même, au point que je continue à me demander qui en est le véritable auteur (mais çà, avec le cinoche italien, on a l'habitude !)
  15. D'une façon générale, tu as raison, et je ne prends pas du tout ta remarque dans le mauvais sens, sois tranquille. Mais ceci est finalement assez théorique. Prends par exemple les copies DVD des deux Fisher, "Frankenstein s'est échappé" et "Le cauchemar de Dracula". Tous deux ont été tourné dans le même format, 1.66 je crois (corrige-moi si je me trompe, mais pas trop fort...), et tous deux ont été semblablement rabotés en haut et en bas dans leurs dernières versions DVD. Dans un article de "Video Watchdog", Tim Lucas remarquait ce fait et le regrettait, mais notait aussi que l'effet était encore plus dommageable pour le "Dracula" que pour le "Frankenstein", simplement à cause de la façon dont le cadreur avait travaillé sur l'image originale "cinéma". Dans les salles, lorsque ces films étaient correctement projetés, il y avait un peu plus d'espace entre le haut de la tête des personnages et le bord de l'écran dans le "Frankenstein" que dans le "Dracula" - de façon générale. Donc, en coupant l'image, le dommage était plus important pour le second... (mais les deux restent condamnables, bien entendu). Je ne suis pas familier avec le travail de Jesus Franco (en-dehors de quelques films de lui que j'aime bien) mais je pense que mon correspondant fait la part des choses, il dit bien que la copie allemande en 1.33 n'était pas parfaite non plus... Un bon exemple récent de ce que tu dis, au sujet des dommages causés par le rabotage en 1.33, est la version que l'on pouvait voir jusqu'ici à la télé de "L'homme qui rétrécit" de Jack Arnold, que j'avais vu dans toute sa gloire au cinéma, et qui une fois sur le petit écran me faisait l'effet d'un téléfilm. Or, voici que le DVD récent lui rend toute sa beauté avec son cadrage d'origine... Nous serons donc d'accord tous les deux pour dire que ce n'est pas au cinéma de s'adapter à l'écran de télé, mais bel et bien le contraire - même si çà doit créer des "bandes noires" en haut et en bas, voire sur les côtés comme dans le cas des films muets, ou du début du parlant (je pense au "Testament du Docteur Mabuse", où c'est effectivement le cas, et qui est magnifique, vu ainsi).
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