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Kerozene

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Paul Verhoeven

Paul Verhoeven (5/6)

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  1. Moins convaincu par cette proposition qui m'a parrue beaucoup trop familiale, malgré ses atours horrifiques (qui ne bousculent pas grand monde). Peut-être suis-je trop blasé.
  2. C'est vraiment du cinéma d'action de pantouflard. Je n'ai rien contre Gastambide ou Alban Lenoir qui sont corrects. L'accusation se tourne vers Julien Leclerq qui foire totalement ses scènes de baston et livre des gunfight mous - dommage puisque son film repose là-dessus plutôt que sur le suspenses ou le développement des personnages. La photo fait illusion et sauve les meubles, mais ceux-ci sont réduits en pièces par l'infâme soupe d'Eric Serra (les trois notes de guitare lorsque Lenoir pleurniche dans sa cellule... au secours!). Bilan négatif pour cette nouvelle adaptation d'un roman qui aura su inspirer deux grands films auparavant.
  3. Lester Bangs: Mégatonnique Rock Critic - Jim DeRogatis Après les deux reccueils compilant les écrits du "meilleur critique rock de l'histoire", je me suis farci la biographique de Lester Bangs, un récit bouillonnant de divagations proches des auteurs de la beat generation, avec tous les débordements narcotiques que cela implique. Aucune surprise à ce niveau dans le sens où Bangs n'a jamais hésité à faire étalage de sa passion pour les altérations chimiques provoquées par les médocs et l'alcool, mais DeRogatis - qui a pu interviewer Bangs en 1982, quelques mois avant son décès prématuré à l'age de 33 ans - parvient à livrer le portrait tragique d'un môme écorché, écrasé par un talent dont il ne savait que faire, marqué par un père alcoolique, une mère témoin de Jéhovah, et des romances souvent sabotées par son hygiène de vie autodestructrice. Bangs a vécu dans l'excès, fut la star ultime de la presse musicale (il a écrit chez Roling Stone, Creem ou Village Voice), s'est comporté comme ses plus grandes idoles (Lou Reed en tête), mais sans jamais en avoir les moyens financiers ni la force da caractère nécessaire pour en gérer les conséquences. Il fut la plus grande rock star de la presse écrite, un auteur aussi étincelant que pathétique, inspiration pour un grand nombre d'artistes qu'il valait finalement mieux ne connaître qu'à travers ses écrits plutôt qu'en personne tant l'épave - extrêmement attachante - qu'il était pouvait être déceptive. Le récit de sa vie est en ce sens aussi triste que fascinant.
  4. J'ai eu le même sentiment que toi lorsque je l'ai montré à mes filles il y a quelques années. Sans compter qu'elles sont restées totalement hermétiques à la proposition, ce qui m'a fait l'effet d'une douche froide.
  5. Crossed - Garth Ennis / Jacen Burrows Edité en France en 2022, Nice Panda l'avait évoqué il y a longtemps : oui, c'est putassier, mais ce récit d'infectés en mode cannibales libidineux est assez jubilatoire, à croire que le film THE SADNESS s'en est largement inspiré tant le point de départ est similaire. C'est brutale, sale, vulgaire, obscène, ça dévore, ça démembre et ça viole à toutes les pages, et ça se lit avec un certain plaisir pour autant qu'on apprécie ce genre de saloperies.
  6. Kerozene

    Ambulance - Michael Bay (2022)

    ok... comme "Ambulance" est aussi dispo sur Netflix, ça m'a enduit de confusion... Perso j'ai pas détesté "Ambulance", et je crois même que ce que j'ai préféré, ce sont ces plans au drone complètement gratuits - sur grand écran, c'était de la folie.
  7. Kerozene

    Ambulance - Michael Bay (2022)

    Pas compris: le film a été raccourci de 20 minutes sur Netflix?
  8. Je vous trouve vachement indulgents. Je suis le premier à me réjouir des gimmicks / audaces / gadgets du genre "film sans dialogue", et sur le papier "Silent Night"avait tout pour m'exciter, d'autant plus que la BA promettait un actioner non-stop avec de la tôle froissée en veux-tu en voilà. Le film est sorti en salle, mais merci Pathé et sa politique de connard, le film n'a été programmé qu'à des séances vendredi et samedi à 23h30... trous de balle. J'ai donc vu le machin sur ma télé et j'ai salement déchanté: entre sa photo laide comme un épisode de sitcom, son personnage central sans charisme, ses bad guys qui alignent les clichés et surtout - comble du comble - le nombre rachitique de scénes d'action (une au début, une à la fin, et un bourre-pif à mi-chemin histoire de ne pas te laisser sombrer dans le sommeil), je me suis senté floué, et me suis alors surpris à remercier Pathé de m'avoir épargné une désolante séance nocturne.
  9. Bonne année à tous les zonebisseux!!!
  10. J'ai trouvé ça pas si mal sur le moment. C'est évidemment très bien mis en boîte, avec un Fincher en mode anti-John Wick histoire d'offrir une variation pas désagréable d'une trame usée jusqu'à la corde. Le soucis est que tout cela n'a rien de bien mémorable, la preuve: je l'ai vu samedi dernier, il ne m'en reste déjà plus grand chose
  11. Suis pas vraiment convaincu que ce soit du fond vert....
  12. Je ne savais même pas qu'ils en étaient arrivé à 4
  13. Perso ça me fait très envie, je trouve que ça a de la gueule, et je croise tous les doigts croisables pour que Papy George ne se prenne pas les pieds dans le tapis.
  14. Ca a l'air absolument épouvantable! J'imagine que les SFX ne sont pas terminés, parce qu'il y a certains trucs qui font vraiment flipper, comme les hélicos en ouverture du trailer ou ces plans de mouvements de panique en milieu urbain qui semblent provenir d'une production Asylum Et ce sprint final.... Les mecs ont complètement craqué.
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